Le président de l’UFC, Dana White, est connu pour ne manquer aucune occasion de critiquer ses concurrents, et le PFL ne fait pas exception à la règle. S’il est clair que l’UFC soit le leader incontesté du monde du MMA, le PFL connaît une montée en puissance rapide, notamment aux États-Unis, avec des signatures de renom telles que Francis Ngannou et Cédric Doumbé. Malgré le rachat du Bellator par le PFL, l’organisation peine à rivaliser avec l’UFC, en particulier en termes de densité de combattants. Dana White en est conscient et n’hésite pas à le souligner, allant jusqu’à qualifier le PFL d’« organisations de m** ».
Lors de la conférence de presse suivant le Power Slap 9, Dana White a critiqué ouvertement le PFL en déclarant : « Le PFL devrait arrêter de parler de l’UFC. Ils n’arrivent même pas à rivaliser avec le Power Slap. Le Power Slap écrase le PFL ». Il a également critiqué le président du PFL, le comparant à Kamala Harris et remettant en question son efficacité : « Je ne regarde pas le MMA, j’ai travaillé sept ans et je n’ai pas pris de vacances. Donn, tu devrais probablement prendre des vacances ! ». Dana White a ensuite souligné que le PFL ne peut rivaliser avec le Power Slap en termes de revenus, de vente de billets ou de parrainage, laissant entendre que les meilleurs éléments du PFL finiront par rejoindre l’UFC tôt ou tard, à l’exception de Francis Ngannou**.