Mardi dernier, trois hauts responsables des Nations Unies ont exposé devant le Conseil de sécurité la situation alarmante dans laquelle se trouve actuellement la bande de Gaza. Joyce Msuya, la Coordonnatrice par intérim des secours d’urgence de l’ONU, a souligné que la majeure partie de Gaza est désormais réduite à un champ de ruines, avec des hommes, des femmes, des garçons et des filles souffrant de la faim.
Elle a également mentionné que les enfants blessés dans l’enclave se retrouvent souvent avec les mots « enfant blessé, pas de famille survivante » inscrits sur leurs bras. Les services essentiels tels que l’électricité ont été largement interrompus, entraînant une augmentation de la faim et de l’épuisement, et potentiellement une famine.
Joyce Msuya a mis en garde contre des actes qui rappellent les crimes internationaux les plus graves, soulignant que les tirs de roquettes vers Israël doivent cesser et que les crimes internationaux doivent être punis.
La situation actuelle dans la bande de Gaza est critique et nécessite une action immédiate de la communauté internationale pour prévenir une catastrophe humanitaire. Les mots de ces responsables de l’ONU résonnent comme un cri d’alarme pour une action urgente et décisive.