Une panne d’Internet a touché la République démocratique du Congo en début d’année 2019, privant ainsi les citoyens d’accès à des plateformes telles que Facebook, Twitter ou WhatsApp. Cette situation n’est malheureusement pas isolée dans certains pays africains, où les gouvernements ont tendance à fermer périodiquement l’accès à Internet ou bloquer les réseaux sociaux.
En effet, cette pratique soulève des questions sur la liberté d’expression et l’accès à l’information dans ces pays. Les citoyens se retrouvent ainsi souvent privés de moyens de communication essentiels, limitant leur capacité à s’exprimer et à accéder à des informations cruciales.
Les gouvernements justifient généralement ces mesures en invoquant des raisons de sécurité nationale ou de maintien de l’ordre public. Cependant, de nombreux observateurs critiquent ces actions comme étant des atteintes à la liberté d’expression et à la démocratie.
Cette situation soulève donc des préoccupations quant à l’équilibre entre la sécurité nationale et les droits fondamentaux des citoyens. Il est essentiel de trouver un juste milieu afin de garantir à la fois la sécurité et la liberté d’expression pour tous.