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Un groupe italien investit dans l’élevage en Algérie pour renforcer la filière agroalimentaire.

Un groupe italien investit dans l'élevage en Algérie pour renforcer la filière agroalimentaire.

L’Algérie attire de plus en plus l’attention des investisseurs étrangers, notamment dans le domaine agricole. Le groupe agroalimentaire italien Bonifiche Ferraresi (BF) a récemment annoncé son intention de mettre en place un projet d’envergure dans le pays. Ce projet vise à renforcer le secteur agroalimentaire algérien en se concentrant sur l’élevage bovin et en établissant une chaîne de production intégrée couvrant la viande, le lait et le fourrage pour l’alimentation animale.

L’initiative de Bonifiche Ferraresi s’inscrit dans la démarche actuelle des autorités algériennes visant à moderniser et renforcer la production agricole locale. L’objectif est double : réduire la dépendance aux importations et stimuler la production nationale dans des domaines clés.

Le projet met particulièrement l’accent sur l’élevage bovin, avec une augmentation prévue de la production de viande et de lait, ainsi que la culture de fourrage pour assurer une alimentation durable et de qualité pour le cheptel. L’Algérie a travaillé ces dernières années à améliorer son climat des affaires pour attirer les investisseurs internationaux.

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Grâce à des réformes économiques, une stabilité politique renforcée et une demande croissante en produits agroalimentaires, l’Algérie devient une destination attrayante pour les entreprises souhaitant s’implanter en Afrique du Nord. Le secteur agricole est l’un des plus prometteurs, avec de vastes terres arables, une main-d’œuvre qualifiée et une forte demande intérieure.

De plus, la position stratégique de l’Algérie en Méditerranée facilite les exportations vers l’Europe et l’Afrique. L’arrivée de Bonifiche Ferraresi dans le paysage agricole algérien témoigne de la volonté des autorités de diversifier l’économie et de promouvoir les investissements étrangers. Ce projet pourrait non seulement stimuler la production locale, mais aussi créer de nouveaux emplois et favoriser le transfert de technologies dans les techniques d’élevage et de culture fourragère.

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